Selon l'enquête conjoncturelle du printemps de la CNCI, 58% des entreprises neuchâteloises rencontrent des difficultés de recrutement et 40% d’entre elles forment.

Dans le cadre de son étude conjoncturelle du printemps, la CNCI a posé des questions en lien avec les Ressources humaines. Il ressort de cette étude que 58% des entreprises sondées connaissent des problèmes de recrutement. Les détenteurs de CFC et d’AFC sont les profils les plus recherchés. 40% des entreprises sondées sont formatrices. Dans le cadre de cette étude, des questions ont été posées par rapport aux égalités salariales entre femmes et hommes. Sur 82 entreprises ayant procédé à l’analyse sur l’égalité des salaires, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Recrutement et fidélisation du personnel

Trois entreprises neuchâteloises sur cinq connaissent des problèmes de recrutement. Le problème est ressenti plus fortement dans l’industrie que dans les services ainsi que dans les entreprises de plus de 30 collaborateurs. Les profils et formations les plus recherchés par les entreprises sondées sont les détenteurs de CFC / AFP, notamment dans l’industrie. Pour pallier aux difficultés de recrutement, les trois mesures plébiscitées sont le renforcement de l’orientation professionnelle / revalorisation de certaines filières de formation, l’augmentation du nombre de places en crèche et l’encouragement de la formation continue. Lors des entretiens d’embauche, les conditions salariales et la flexibilité du temps de travail constituent les deux exigences et attentes formulées le plus par les candidats à un poste. Pour fidéliser le personnel, les entreprises misent sur la rémunération, sur des aménagements visant à soutenir l’équilibre vie-privée / vie professionnelle et sur la flexibilisation du temps de travail. 36% des entreprises engagent du personnel ayant eu de la peine à s’insérer ou à se réinsérer dans le marché du travail. Les personnes ayant fait un break professionnel, les seniors et les personnes ayant fait une pause de moins de 3 ans pour des raisons familiales constituent les 3 premiers profils de personnel insérés ou réinsérés.

Orientation et formation professionnelle

40% des entreprises sondées forment des apprentis. L’industrie (51%) est plus formatrice que les services (32%). Intégrer les jeunes dans le marché de l’emploi, assurer la relève professionnelle pour son entreprise et dynamiser son entreprise constituent les trois premières motivations à former des apprentis. Pour plus de 2/3 des entreprises de moins de 30 collaborateurs qui ne forment pas, la petite taille de l’entreprise constitue la première raison à renoncer à engager un apprenti. Le manque de candidats et de postulants, le haut niveau d’exigences du plan de formation fédéral et le niveau insatisfaisant des apprentis constituent des obstacles à la formation d’apprentis.  A la question « La filière de l’apprentissage est-elle suffisamment mise en avant au moment du choix ? », seules 32% des entreprises formatrices et 28% des entreprises non formatrices répondent par l’affirmative. La part des entreprises ne pouvant pas répondre à cette question ou répondant à la question par la négative est élevée : 68% pour les entreprises formatrices et 72% pour les entreprises non formatrices. Les manifestations comme Capa’Cité et le Forum des métiers jouissent d’un haut degré de notoriété. Capa’Cité est connu par 76% des entreprises sondées et le Forum des Métiers par 68%.

Egalité salariale entre femmes et hommes

Le 1er juillet 2020, est entrée en vigueur la modification de la loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes (LEg) visant à supprimer les inégalités salariales fondées sur le sexe par le biais d’une analyse des salaires imposée aux employeurs d’au moins 100 employés. Sur 82 entreprises ayant procédé à ces analyses, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%. Parmi les entreprises sondées de plus de 100 collaborateurs, 97% d’entre elles n’ont relevé aucune inégalité ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Réactions de Florian Németi, Directeur de la CNCI

Les résultats de cette étude soulignent les difficultés des employeurs neuchâtelois à recruter ainsi que les mutations du marché du travail. Les conditions salariales restent centrales. Mais de nouvelles notions comme la flexibilité du temps de travail, les possibilités de développement, l’équilibre vie professionnelle et vie privée font de plus en plus l’objet de discussions. La CNCI et les associations qu’elle gère œuvrent en faveur de l’augmentation constante des places et des contrats d’apprentissage. 60% des entreprises ne forment pas. Il y a encore du potentiel à exploiter.  Il s’agit de continuer à promouvoir la formation professionnelle au moment du choix du jeune et de continuer à faciliter le travail des entreprises formatrices. Par rapport au débat sur l’égalité salariale entre femmes et hommes, la CNCI se réjouit de constater que 97% des entreprises de plus de 100 collaborateurs ayant fait l’analyse respectent les exigences de la loi. Il est à relever que 2/3 des entreprises ayant procédé à l’analyse d’égalité salariale entre femmes et hommes l’ont fait alors qu’elles n’en avaient pas l’obligation légale. Sur la base de ces résultats, on peut observer que la loi fait son effet et qu’il n’y a pas lieu de la durcir.

Une enquête représentative

L'enquête a été menée par la CNCI du 20 février au 14 avril 2023. 28.6% des membres sondés y ont répondu, ce qui correspond à 277 réponses (111 entreprises industrielles et 166 sociétés de services). L'ensemble des entreprises ayant répondu occupe 12’854 collaborateurs dans le canton (40% des emplois de la CNCI). Les petites entreprises (< 30 collaborateurs) représentent 69.7% de l’échantillon, les moyennes entreprises (entre 30 et 100), 18.4% % et les grandes entreprises (> 100 collaborateurs),  11.9%.

Evénement du 15 mai

Pour la publication des résultats de l'enquête, un événement a eu lieu le 15 mai à l'Espace Facchinetti. Une table ronde a réuni cinq membres de la CNCI: Susanne Jecklin, Directrice et Responsable RH de Flückiger Electricité SA; Estelle Renard, Responsable administrative Laboratoire Dubois SA; Mike Pessotto, Président de l’association HR Neuchâtel et Responsable RH de la Banque Cantonale Neuchâteloise; Christophe Jacot, Directeur Admo Plastique SA; Jean-Luc Allemann, Vice-Président AESA Cortaillod. En préambule, Laurent Vacelet, Directeur Suisse romande de Manpower, a traité le sujet: "Perspectives d’emploi optimistes malgré une pénurie de talents sans précédent".

Pour accéder aux résultats de l'enquête

Selon l'enquête conjoncturelle du printemps de la CNCI, 58% des entreprises neuchâteloises rencontrent des difficultés de recrutement et 40% d’entre elles forment.

Dans le cadre de son étude conjoncturelle du printemps, la CNCI a posé des questions en lien avec les Ressources humaines. Il ressort de cette étude que 58% des entreprises sondées connaissent des problèmes de recrutement. Les détenteurs de CFC et d’AFC sont les profils les plus recherchés. 40% des entreprises sondées sont formatrices. Dans le cadre de cette étude, des questions ont été posées par rapport aux égalités salariales entre femmes et hommes. Sur 82 entreprises ayant procédé à l’analyse sur l’égalité des salaires, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Recrutement et fidélisation du personnel

Trois entreprises neuchâteloises sur cinq connaissent des problèmes de recrutement. Le problème est ressenti plus fortement dans l’industrie que dans les services ainsi que dans les entreprises de plus de 30 collaborateurs. Les profils et formations les plus recherchés par les entreprises sondées sont les détenteurs de CFC / AFP, notamment dans l’industrie. Pour pallier aux difficultés de recrutement, les trois mesures plébiscitées sont le renforcement de l’orientation professionnelle / revalorisation de certaines filières de formation, l’augmentation du nombre de places en crèche et l’encouragement de la formation continue. Lors des entretiens d’embauche, les conditions salariales et la flexibilité du temps de travail constituent les deux exigences et attentes formulées le plus par les candidats à un poste. Pour fidéliser le personnel, les entreprises misent sur la rémunération, sur des aménagements visant à soutenir l’équilibre vie-privée / vie professionnelle et sur la flexibilisation du temps de travail. 36% des entreprises engagent du personnel ayant eu de la peine à s’insérer ou à se réinsérer dans le marché du travail. Les personnes ayant fait un break professionnel, les seniors et les personnes ayant fait une pause de moins de 3 ans pour des raisons familiales constituent les 3 premiers profils de personnel insérés ou réinsérés.

Orientation et formation professionnelle

40% des entreprises sondées forment des apprentis. L’industrie (51%) est plus formatrice que les services (32%). Intégrer les jeunes dans le marché de l’emploi, assurer la relève professionnelle pour son entreprise et dynamiser son entreprise constituent les trois premières motivations à former des apprentis. Pour plus de 2/3 des entreprises de moins de 30 collaborateurs qui ne forment pas, la petite taille de l’entreprise constitue la première raison à renoncer à engager un apprenti. Le manque de candidats et de postulants, le haut niveau d’exigences du plan de formation fédéral et le niveau insatisfaisant des apprentis constituent des obstacles à la formation d’apprentis.  A la question « La filière de l’apprentissage est-elle suffisamment mise en avant au moment du choix ? », seules 32% des entreprises formatrices et 28% des entreprises non formatrices répondent par l’affirmative. La part des entreprises ne pouvant pas répondre à cette question ou répondant à la question par la négative est élevée : 68% pour les entreprises formatrices et 72% pour les entreprises non formatrices. Les manifestations comme Capa’Cité et le Forum des métiers jouissent d’un haut degré de notoriété. Capa’Cité est connu par 76% des entreprises sondées et le Forum des Métiers par 68%.

Egalité salariale entre femmes et hommes

Le 1er juillet 2020, est entrée en vigueur la modification de la loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes (LEg) visant à supprimer les inégalités salariales fondées sur le sexe par le biais d’une analyse des salaires imposée aux employeurs d’au moins 100 employés. Sur 82 entreprises ayant procédé à ces analyses, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%. Parmi les entreprises sondées de plus de 100 collaborateurs, 97% d’entre elles n’ont relevé aucune inégalité ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Réactions de Florian Németi, Directeur de la CNCI

Les résultats de cette étude soulignent les difficultés des employeurs neuchâtelois à recruter ainsi que les mutations du marché du travail. Les conditions salariales restent centrales. Mais de nouvelles notions comme la flexibilité du temps de travail, les possibilités de développement, l’équilibre vie professionnelle et vie privée font de plus en plus l’objet de discussions. La CNCI et les associations qu’elle gère œuvrent en faveur de l’augmentation constante des places et des contrats d’apprentissage. 60% des entreprises ne forment pas. Il y a encore du potentiel à exploiter.  Il s’agit de continuer à promouvoir la formation professionnelle au moment du choix du jeune et de continuer à faciliter le travail des entreprises formatrices. Par rapport au débat sur l’égalité salariale entre femmes et hommes, la CNCI se réjouit de constater que 97% des entreprises de plus de 100 collaborateurs ayant fait l’analyse respectent les exigences de la loi. Il est à relever que 2/3 des entreprises ayant procédé à l’analyse d’égalité salariale entre femmes et hommes l’ont fait alors qu’elles n’en avaient pas l’obligation légale. Sur la base de ces résultats, on peut observer que la loi fait son effet et qu’il n’y a pas lieu de la durcir.

Une enquête représentative

L'enquête a été menée par la CNCI du 20 février au 14 avril 2023. 28.6% des membres sondés y ont répondu, ce qui correspond à 277 réponses (111 entreprises industrielles et 166 sociétés de services). L'ensemble des entreprises ayant répondu occupe 12’854 collaborateurs dans le canton (40% des emplois de la CNCI). Les petites entreprises (< 30 collaborateurs) représentent 69.7% de l’échantillon, les moyennes entreprises (entre 30 et 100), 18.4% % et les grandes entreprises (> 100 collaborateurs),  11.9%.

Evénement du 15 mai

Pour la publication des résultats de l'enquête, un événement a eu lieu le 15 mai à l'Espace Facchinetti. Une table ronde a réuni cinq membres de la CNCI: Susanne Jecklin, Directrice et Responsable RH de Flückiger Electricité SA; Estelle Renard, Responsable administrative Laboratoire Dubois SA; Mike Pessotto, Président de l’association HR Neuchâtel et Responsable RH de la Banque Cantonale Neuchâteloise; Christophe Jacot, Directeur Admo Plastique SA; Jean-Luc Allemann, Vice-Président AESA Cortaillod. En préambule, Laurent Vacelet, Directeur Suisse romande de Manpower, a traité le sujet: "Perspectives d’emploi optimistes malgré une pénurie de talents sans précédent".

Pour accéder aux résultats de l'enquête

Selon l'enquête conjoncturelle du printemps de la CNCI, 58% des entreprises neuchâteloises rencontrent des difficultés de recrutement et 40% d’entre elles forment.

Dans le cadre de son étude conjoncturelle du printemps, la CNCI a posé des questions en lien avec les Ressources humaines. Il ressort de cette étude que 58% des entreprises sondées connaissent des problèmes de recrutement. Les détenteurs de CFC et d’AFC sont les profils les plus recherchés. 40% des entreprises sondées sont formatrices. Dans le cadre de cette étude, des questions ont été posées par rapport aux égalités salariales entre femmes et hommes. Sur 82 entreprises ayant procédé à l’analyse sur l’égalité des salaires, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Recrutement et fidélisation du personnel

Trois entreprises neuchâteloises sur cinq connaissent des problèmes de recrutement. Le problème est ressenti plus fortement dans l’industrie que dans les services ainsi que dans les entreprises de plus de 30 collaborateurs. Les profils et formations les plus recherchés par les entreprises sondées sont les détenteurs de CFC / AFP, notamment dans l’industrie. Pour pallier aux difficultés de recrutement, les trois mesures plébiscitées sont le renforcement de l’orientation professionnelle / revalorisation de certaines filières de formation, l’augmentation du nombre de places en crèche et l’encouragement de la formation continue. Lors des entretiens d’embauche, les conditions salariales et la flexibilité du temps de travail constituent les deux exigences et attentes formulées le plus par les candidats à un poste. Pour fidéliser le personnel, les entreprises misent sur la rémunération, sur des aménagements visant à soutenir l’équilibre vie-privée / vie professionnelle et sur la flexibilisation du temps de travail. 36% des entreprises engagent du personnel ayant eu de la peine à s’insérer ou à se réinsérer dans le marché du travail. Les personnes ayant fait un break professionnel, les seniors et les personnes ayant fait une pause de moins de 3 ans pour des raisons familiales constituent les 3 premiers profils de personnel insérés ou réinsérés.

Orientation et formation professionnelle

40% des entreprises sondées forment des apprentis. L’industrie (51%) est plus formatrice que les services (32%). Intégrer les jeunes dans le marché de l’emploi, assurer la relève professionnelle pour son entreprise et dynamiser son entreprise constituent les trois premières motivations à former des apprentis. Pour plus de 2/3 des entreprises de moins de 30 collaborateurs qui ne forment pas, la petite taille de l’entreprise constitue la première raison à renoncer à engager un apprenti. Le manque de candidats et de postulants, le haut niveau d’exigences du plan de formation fédéral et le niveau insatisfaisant des apprentis constituent des obstacles à la formation d’apprentis.  A la question « La filière de l’apprentissage est-elle suffisamment mise en avant au moment du choix ? », seules 32% des entreprises formatrices et 28% des entreprises non formatrices répondent par l’affirmative. La part des entreprises ne pouvant pas répondre à cette question ou répondant à la question par la négative est élevée : 68% pour les entreprises formatrices et 72% pour les entreprises non formatrices. Les manifestations comme Capa’Cité et le Forum des métiers jouissent d’un haut degré de notoriété. Capa’Cité est connu par 76% des entreprises sondées et le Forum des Métiers par 68%.

Egalité salariale entre femmes et hommes

Le 1er juillet 2020, est entrée en vigueur la modification de la loi fédérale sur l’égalité entre femmes et hommes (LEg) visant à supprimer les inégalités salariales fondées sur le sexe par le biais d’une analyse des salaires imposée aux employeurs d’au moins 100 employés. Sur 82 entreprises ayant procédé à ces analyses, 81 ne présentaient pas d’écart ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%. Parmi les entreprises sondées de plus de 100 collaborateurs, 97% d’entre elles n’ont relevé aucune inégalité ou se trouvaient dans le seuil de tolérance de 5%.

Réactions de Florian Németi, Directeur de la CNCI

Les résultats de cette étude soulignent les difficultés des employeurs neuchâtelois à recruter ainsi que les mutations du marché du travail. Les conditions salariales restent centrales. Mais de nouvelles notions comme la flexibilité du temps de travail, les possibilités de développement, l’équilibre vie professionnelle et vie privée font de plus en plus l’objet de discussions. La CNCI et les associations qu’elle gère œuvrent en faveur de l’augmentation constante des places et des contrats d’apprentissage. 60% des entreprises ne forment pas. Il y a encore du potentiel à exploiter.  Il s’agit de continuer à promouvoir la formation professionnelle au moment du choix du jeune et de continuer à faciliter le travail des entreprises formatrices. Par rapport au débat sur l’égalité salariale entre femmes et hommes, la CNCI se réjouit de constater que 97% des entreprises de plus de 100 collaborateurs ayant fait l’analyse respectent les exigences de la loi. Il est à relever que 2/3 des entreprises ayant procédé à l’analyse d’égalité salariale entre femmes et hommes l’ont fait alors qu’elles n’en avaient pas l’obligation légale. Sur la base de ces résultats, on peut observer que la loi fait son effet et qu’il n’y a pas lieu de la durcir.

Une enquête représentative

L'enquête a été menée par la CNCI du 20 février au 14 avril 2023. 28.6% des membres sondés y ont répondu, ce qui correspond à 277 réponses (111 entreprises industrielles et 166 sociétés de services). L'ensemble des entreprises ayant répondu occupe 12’854 collaborateurs dans le canton (40% des emplois de la CNCI). Les petites entreprises (< 30 collaborateurs) représentent 69.7% de l’échantillon, les moyennes entreprises (entre 30 et 100), 18.4% % et les grandes entreprises (> 100 collaborateurs),  11.9%.

Evénement du 15 mai

Pour la publication des résultats de l'enquête, un événement a eu lieu le 15 mai à l'Espace Facchinetti. Une table ronde a réuni cinq membres de la CNCI: Susanne Jecklin, Directrice et Responsable RH de Flückiger Electricité SA; Estelle Renard, Responsable administrative Laboratoire Dubois SA; Mike Pessotto, Président de l’association HR Neuchâtel et Responsable RH de la Banque Cantonale Neuchâteloise; Christophe Jacot, Directeur Admo Plastique SA; Jean-Luc Allemann, Vice-Président AESA Cortaillod. En préambule, Laurent Vacelet, Directeur Suisse romande de Manpower, a traité le sujet: "Perspectives d’emploi optimistes malgré une pénurie de talents sans précédent".

Pour accéder aux résultats de l'enquête

Pour les années à venir, quatre enjeux fixent le cap de la CNCI

Dans un environnement économique complexe et difficile à prévoir, la CNCI a identifié des enjeux importants pour le développement des entreprises et de l’économie neuchâteloises. Au nombre de quatre, ces enjeux se résument ainsi : action au cœur de l’économie, attractivité & développement, main-d'œuvre & compétitivité et durabilité comme opportunité. Ils orientent l’action de la CNCI pour les années à venir. L’objectif est d’apporter aux membres de la CNCI une valeur ajoutée dans leur lecture de l’environnement économique et dans la pratique de leurs activités quotidiennes. Les enjeux ont été présentés aux membres de la CNCI, lors de l'Assemblée générale du 4 mai 2023.

Genèse, rôle et communication des enjeux de la CNCI

Concernant la genèse des quatre enjeux, Florian Németi apporte la réponse suivante : « Pour la préparation de ces enjeux, le Comité et le Conseil de la CNCI ont pris en compte les tendances de fond économiques, sociétales et géopolitiques, mais aussi les nouvelles donnes liées au numérique, aux évolutions du marché du travail et à l’accélération des exigences en matière de durabilité. Nous avons réduit à quatre le nombre d’enjeux en les faisant correspondre à 12 verbes d’action. ». A la question « A quoi servent ces enjeux ? », Emmanuel Raffner, Président de la CNCI, déclare: « Les enjeux servent à fixer un cap et à bâtir une communication claire autour de ce cap. Ils servent aussi à définir nos priorités. La CNCI fixe ses objectifs annuels, qui sont ensuite déclinés en mesures. Les enjeux sont en effet un support pour le déploiement des actions des équipes de la CNCI. ». En ce qui concerne la communication des enjeux, Emmanuel Raffner complète : « Avec nos supports de communication (REPERES, newsletters, médias sociaux, www.cnci.ch), nous ferons le lien entre les contenus et les enjeux. Par exemple, dans nos présentations externes, nous ferons régulièrement référence aux enjeux. ».

Une page pour découvrir les enjeux de la CNCI et leurs action

Sur enjeux.cnci.ch les enjeux sont détaillés. Pour chaque verbe d’action, des précisions sont apportées.  Cette page sera actualisée au gré des actions réalisées.

Pour les années à venir, quatre enjeux fixent le cap de la CNCI

Dans un environnement économique complexe et difficile à prévoir, la CNCI a identifié des enjeux importants pour le développement des entreprises et de l’économie neuchâteloises. Au nombre de quatre, ces enjeux se résument ainsi : action au cœur de l’économie, attractivité & développement, main-d'œuvre & compétitivité et durabilité comme opportunité. Ils orientent l’action de la CNCI pour les années à venir. L’objectif est d’apporter aux membres de la CNCI une valeur ajoutée dans leur lecture de l’environnement économique et dans la pratique de leurs activités quotidiennes. Les enjeux ont été présentés aux membres de la CNCI, lors de l'Assemblée générale du 4 mai 2023.

Genèse, rôle et communication des enjeux de la CNCI

Concernant la genèse des quatre enjeux, Florian Németi apporte la réponse suivante : « Pour la préparation de ces enjeux, le Comité et le Conseil de la CNCI ont pris en compte les tendances de fond économiques, sociétales et géopolitiques, mais aussi les nouvelles donnes liées au numérique, aux évolutions du marché du travail et à l’accélération des exigences en matière de durabilité. Nous avons réduit à quatre le nombre d’enjeux en les faisant correspondre à 12 verbes d’action. ». A la question « A quoi servent ces enjeux ? », Emmanuel Raffner, Président de la CNCI, déclare: « Les enjeux servent à fixer un cap et à bâtir une communication claire autour de ce cap. Ils servent aussi à définir nos priorités. La CNCI fixe ses objectifs annuels, qui sont ensuite déclinés en mesures. Les enjeux sont en effet un support pour le déploiement des actions des équipes de la CNCI. ». En ce qui concerne la communication des enjeux, Emmanuel Raffner complète : « Avec nos supports de communication (REPERES, newsletters, médias sociaux, www.cnci.ch), nous ferons le lien entre les contenus et les enjeux. Par exemple, dans nos présentations externes, nous ferons régulièrement référence aux enjeux. ».

Une page pour découvrir les enjeux de la CNCI et leurs action

Sur enjeux.cnci.ch les enjeux sont détaillés. Pour chaque verbe d’action, des précisions sont apportées.  Cette page sera actualisée au gré des actions réalisées.