La CNCI, actrice de la Journée « Futur en tous genres » du 13 novembre prochain.

Pour la Journée Futur en tous genres, la CNCI est à nouveau à bord. D'abord, en ayant fait activement de la promotion auprès de ses membres, pour qu'ils y participent. Ensuite, en organisant un atelier ad hoc. Emmanuella Daverio et Régine de Bosset, responsables de ce projet à la CNCI, répondent à nos questions.

Comment est née la Journée « Futur en tous genres »?
Son origine remonte à la Journée nationale des filles, concept initié en 2001 dans le cadre du Projet des places d’apprentissage 16+ par la Conférence Suisse des Déléguées à l’Egalité. 

Quel est l’impact de la manifestation en Suisse et à Neuchâtel en particulier ?
Dès les débuts de la Journée nationale des filles en 2001, la manifestation a rencontré un grand succès. Depuis lors, ce sont plus d’un million de filles et de garçons ainsi que de nombreuses entreprises qui y participent dans toute la Suisse. A Neuchâtel, en 2024, ce sont 1361 élèves de 9e année, sur 1821 au total, qui y ont participé, ce qui représente le 75% des élèves. Au niveau des entreprises, elles sont 90 à avoir accueilli des enfants, dont 200 d’entre eux ont participé à des ateliers qui étaient également organisés au sein de services de l’Etat.

Pour quelles raisons la CNCI soutient Futur en tous genres ?
Promouvoir la relève mais aussi l’égalité et la diversité au sein des entreprises fait partie des enjeux poursuivis par la CNCI. C’est pour cela que nous soutenons cet événement qui vise à élargir les horizons professionnels des enfants en leur permettant de découvrir des métiers dans lequel leur genre est statistiquement moins représenté. 

Quelles sont les conditions pour une entreprise pour participer à Futur en tous genres ?
Toutes les entreprises peuvent y participer simplement en accueillant les enfants de leurs collaborateurs-trices durant cette journée. Elles peuvent également organiser un atelier de découverte d’un métier en particulier dans lequel les hommes ou les femmes sont en minorité. Sur le site www.futurentousgenres.ch vous trouvez de nombreux conseils pour élaborer un programme attractif et adapté aux jeunes participants-es. 

Chaque année, la CNCI organise un atelier ? En quoi consiste-t-il? Qu’est-ce qui est au programme ?
Il s’agit d’un atelier « Un jour en tant que cheffe » lors duquel nous invitons dans nos locaux plusieurs dirigeantes membres CNCI à rencontrer et échanger avec des jeunes filles afin de leur faire découvrir leur entreprise, leur métier et les encourager à envisager des fonctions dirigeantes ou à diriger des entreprises. Nombreuses sont les dirigeantes qui chaque année s’engagent pour cet événement et nous souhaiterions ici les en remercier chaleureusement. 

www.futurentousgenres.ch
 

La CNCI, actrice de la Journée « Futur en tous genres » du 13 novembre prochain.

Pour la Journée Futur en tous genres, la CNCI est à nouveau à bord. D'abord, en ayant fait activement de la promotion auprès de ses membres, pour qu'ils y participent. Ensuite, en organisant un atelier ad hoc. Emmanuella Daverio et Régine de Bosset, responsables de ce projet à la CNCI, répondent à nos questions.

Comment est née la Journée « Futur en tous genres »?
Son origine remonte à la Journée nationale des filles, concept initié en 2001 dans le cadre du Projet des places d’apprentissage 16+ par la Conférence Suisse des Déléguées à l’Egalité. 

Quel est l’impact de la manifestation en Suisse et à Neuchâtel en particulier ?
Dès les débuts de la Journée nationale des filles en 2001, la manifestation a rencontré un grand succès. Depuis lors, ce sont plus d’un million de filles et de garçons ainsi que de nombreuses entreprises qui y participent dans toute la Suisse. A Neuchâtel, en 2024, ce sont 1361 élèves de 9e année, sur 1821 au total, qui y ont participé, ce qui représente le 75% des élèves. Au niveau des entreprises, elles sont 90 à avoir accueilli des enfants, dont 200 d’entre eux ont participé à des ateliers qui étaient également organisés au sein de services de l’Etat.

Pour quelles raisons la CNCI soutient Futur en tous genres ?
Promouvoir la relève mais aussi l’égalité et la diversité au sein des entreprises fait partie des enjeux poursuivis par la CNCI. C’est pour cela que nous soutenons cet événement qui vise à élargir les horizons professionnels des enfants en leur permettant de découvrir des métiers dans lequel leur genre est statistiquement moins représenté. 

Quelles sont les conditions pour une entreprise pour participer à Futur en tous genres ?
Toutes les entreprises peuvent y participer simplement en accueillant les enfants de leurs collaborateurs-trices durant cette journée. Elles peuvent également organiser un atelier de découverte d’un métier en particulier dans lequel les hommes ou les femmes sont en minorité. Sur le site www.futurentousgenres.ch vous trouvez de nombreux conseils pour élaborer un programme attractif et adapté aux jeunes participants-es. 

Chaque année, la CNCI organise un atelier ? En quoi consiste-t-il? Qu’est-ce qui est au programme ?
Il s’agit d’un atelier « Un jour en tant que cheffe » lors duquel nous invitons dans nos locaux plusieurs dirigeantes membres CNCI à rencontrer et échanger avec des jeunes filles afin de leur faire découvrir leur entreprise, leur métier et les encourager à envisager des fonctions dirigeantes ou à diriger des entreprises. Nombreuses sont les dirigeantes qui chaque année s’engagent pour cet événement et nous souhaiterions ici les en remercier chaleureusement. 

www.futurentousgenres.ch
 

La CNCI, actrice de la Journée « Futur en tous genres » du 13 novembre prochain.

Pour la Journée Futur en tous genres, la CNCI est à nouveau à bord. D'abord, en ayant fait activement de la promotion auprès de ses membres, pour qu'ils y participent. Ensuite, en organisant un atelier ad hoc. Emmanuella Daverio et Régine de Bosset, responsables de ce projet à la CNCI, répondent à nos questions.

Comment est née la Journée « Futur en tous genres »?
Son origine remonte à la Journée nationale des filles, concept initié en 2001 dans le cadre du Projet des places d’apprentissage 16+ par la Conférence Suisse des Déléguées à l’Egalité. 

Quel est l’impact de la manifestation en Suisse et à Neuchâtel en particulier ?
Dès les débuts de la Journée nationale des filles en 2001, la manifestation a rencontré un grand succès. Depuis lors, ce sont plus d’un million de filles et de garçons ainsi que de nombreuses entreprises qui y participent dans toute la Suisse. A Neuchâtel, en 2024, ce sont 1361 élèves de 9e année, sur 1821 au total, qui y ont participé, ce qui représente le 75% des élèves. Au niveau des entreprises, elles sont 90 à avoir accueilli des enfants, dont 200 d’entre eux ont participé à des ateliers qui étaient également organisés au sein de services de l’Etat.

Pour quelles raisons la CNCI soutient Futur en tous genres ?
Promouvoir la relève mais aussi l’égalité et la diversité au sein des entreprises fait partie des enjeux poursuivis par la CNCI. C’est pour cela que nous soutenons cet événement qui vise à élargir les horizons professionnels des enfants en leur permettant de découvrir des métiers dans lequel leur genre est statistiquement moins représenté. 

Quelles sont les conditions pour une entreprise pour participer à Futur en tous genres ?
Toutes les entreprises peuvent y participer simplement en accueillant les enfants de leurs collaborateurs-trices durant cette journée. Elles peuvent également organiser un atelier de découverte d’un métier en particulier dans lequel les hommes ou les femmes sont en minorité. Sur le site www.futurentousgenres.ch vous trouvez de nombreux conseils pour élaborer un programme attractif et adapté aux jeunes participants-es. 

Chaque année, la CNCI organise un atelier ? En quoi consiste-t-il? Qu’est-ce qui est au programme ?
Il s’agit d’un atelier « Un jour en tant que cheffe » lors duquel nous invitons dans nos locaux plusieurs dirigeantes membres CNCI à rencontrer et échanger avec des jeunes filles afin de leur faire découvrir leur entreprise, leur métier et les encourager à envisager des fonctions dirigeantes ou à diriger des entreprises. Nombreuses sont les dirigeantes qui chaque année s’engagent pour cet événement et nous souhaiterions ici les en remercier chaleureusement. 

www.futurentousgenres.ch
 

Le REN aux côté de toutes les entreprises formatrices neuchâteloises

Le REN, réseau d’entreprises formatrices neuchâteloises, existe depuis 8 ans. Il est une association à but non lucratif fondée par la CNCI, l’Etat de Neuchâtel et fribap (réseau fribourgeois d’entreprises) pour encourager et accompagner les entreprises neuchâteloises à former des jeunes dans tous les domaines d'activités.  Le REN est actif dans tout le canton de Neuchâtel et se concentre sur les formations de 2 à 4 ans (AFP, CFC et CFC avec maturité intégrée), dans des domaines variés tels que : industrie, alimentation, services, commerces, chimie et pharmaceutique. Le REN vient d’étoffer son offre de formation continue. Mélanie Walser, Emmanuelle Clerc et Philippe Lefeuvre répondent à nos questions.


Pour le REN, quelle est la perception actuelle du rôle de formateur ?
Dans le paysage de la formation professionnelle, le rôle du formateur en entreprise est souvent sous-estimé, mais fondamental. C’est le formateur qui transmet le savoir-faire, accompagne les jeunes dans leurs premiers pas professionnels, et les aide à grandir dans un environnement exigeant. Conscient de cette responsabilité, le REN s’engage à ses côtés avec une offre d’accompagnement sur mesure, pensée pour répondre aux réalités du terrain.

Que propose concrètement le REN pour aider les formateurs en entreprise ?
En tant que facilitateur entre l’entreprise et l’apprenti.e, il propose d’abord un accompagnement personnalisé et proactif. Grâce à des visites régulières en entreprise, une écoute attentive et une grande flexibilité, le REN soutient les duos formateur-apprenti dans leur parcours, tout en allégeant les charges administratives. Pour les petites structures, faire appel au REN permet un réel gain de temps en réduisant les formalités administratives, sécuriser le parcours de formation et libérer du temps pour se concentrer sur leur cœur de métier. Les services RH, souvent très sollicités, apprécient particulièrement de pouvoir s’appuyer sur le REN pour une partie de la coordination et du suivi opérationnel. Il peut également être mandaté pour des besoins spécifiques, tels que le recrutement ou la mise en réseau d’entreprises qui ne couvrent pas l’entier du plan de formation. Aujourd’hui, le REN suit 45 apprentis, issus de 31 entreprises actives dans 25 métiers. Le taux de réussite aux examen finaux se monte à 94%.

Depuis peu, le REN propose de la formation continue pour les entreprises formatrices. Quels sujets sont abordés ? Et comment faites-vous le choix des sujets ?
Le REN développe un programme de formations continues pour enrichir les pratiques, nourrir les réflexions et offrir des outils concrets, directement applicables dans le quotidien des formateurs. Les thématiques abordées sont variées et ciblées : la motivation comme levier de réussite, la communication avec les apprentis, l’accompagnement des jeunes en fragilité d’apprentissage, ou encore l’évaluation constructive. Autant de sujets qui résonnent avec les défis rencontrés sur le terrain. Le soutien pédagogique du REN renforce la qualité de la formation et la motivation des deux parties, en créant un cadre propice à l’apprentissage et à la transmission. 

Ces cours correspondent à un besoin, ressenti à plus grande échelle. Cet été, Workmed a publié les résultats d’une étude sur le bien-être psychologique des apprenti·e·s durant leur formation. Il en ressort que l’apprentissage joue un rôle-clé dans la construction de la confiance en soi, du sentiment d’utilité et de stabilité — des éléments essentiels à l’équilibre mental. Au REN, nous en sommes convaincus. Aussi, nous mettons sur pied des cours qui collent à une réalité en constante évolution.

Quels sont les premiers retours par rapport à ces cours ?
Les retours des participants sont éloquents : ces formations permettent de prendre du recul, de mieux comprendre les enjeux psychologiques et relationnels, et de renforcer la posture du formateur. Elles créent des espaces de dialogue, de partage d’expériences, et de montée en compétences.

Pour terminer, si vous disposiez de quelques phrase pour résumer la mission du REN…
Le REN veut libérer du temps aux formateurs pour qu’ils puissent se consacrer pleinement à la transmission de leur savoir-faire, en leur permettant d’exercer leur rôle avec plus de sérénité, grâce à un appui professionnel et un regard extérieur orienté solution. Le REN incarne ainsi une vision moderne et humaine de l’accompagnement en entreprise. Une présence discrète mais essentielle, au service de la transmission, de l’engagement et du très haut niveau de réussite des apprentis à leur formation (AFP, CFC et CFC avec maturité intégrée).

Informations

https://reneuchatel.ch/

Le REN aux côté de toutes les entreprises formatrices neuchâteloises

Le REN, réseau d’entreprises formatrices neuchâteloises, existe depuis 8 ans. Il est une association à but non lucratif fondée par la CNCI, l’Etat de Neuchâtel et fribap (réseau fribourgeois d’entreprises) pour encourager et accompagner les entreprises neuchâteloises à former des jeunes dans tous les domaines d'activités.  Le REN est actif dans tout le canton de Neuchâtel et se concentre sur les formations de 2 à 4 ans (AFP, CFC et CFC avec maturité intégrée), dans des domaines variés tels que : industrie, alimentation, services, commerces, chimie et pharmaceutique. Le REN vient d’étoffer son offre de formation continue. Mélanie Walser, Emmanuelle Clerc et Philippe Lefeuvre répondent à nos questions.


Pour le REN, quelle est la perception actuelle du rôle de formateur ?
Dans le paysage de la formation professionnelle, le rôle du formateur en entreprise est souvent sous-estimé, mais fondamental. C’est le formateur qui transmet le savoir-faire, accompagne les jeunes dans leurs premiers pas professionnels, et les aide à grandir dans un environnement exigeant. Conscient de cette responsabilité, le REN s’engage à ses côtés avec une offre d’accompagnement sur mesure, pensée pour répondre aux réalités du terrain.

Que propose concrètement le REN pour aider les formateurs en entreprise ?
En tant que facilitateur entre l’entreprise et l’apprenti.e, il propose d’abord un accompagnement personnalisé et proactif. Grâce à des visites régulières en entreprise, une écoute attentive et une grande flexibilité, le REN soutient les duos formateur-apprenti dans leur parcours, tout en allégeant les charges administratives. Pour les petites structures, faire appel au REN permet un réel gain de temps en réduisant les formalités administratives, sécuriser le parcours de formation et libérer du temps pour se concentrer sur leur cœur de métier. Les services RH, souvent très sollicités, apprécient particulièrement de pouvoir s’appuyer sur le REN pour une partie de la coordination et du suivi opérationnel. Il peut également être mandaté pour des besoins spécifiques, tels que le recrutement ou la mise en réseau d’entreprises qui ne couvrent pas l’entier du plan de formation. Aujourd’hui, le REN suit 45 apprentis, issus de 31 entreprises actives dans 25 métiers. Le taux de réussite aux examen finaux se monte à 94%.

Depuis peu, le REN propose de la formation continue pour les entreprises formatrices. Quels sujets sont abordés ? Et comment faites-vous le choix des sujets ?
Le REN développe un programme de formations continues pour enrichir les pratiques, nourrir les réflexions et offrir des outils concrets, directement applicables dans le quotidien des formateurs. Les thématiques abordées sont variées et ciblées : la motivation comme levier de réussite, la communication avec les apprentis, l’accompagnement des jeunes en fragilité d’apprentissage, ou encore l’évaluation constructive. Autant de sujets qui résonnent avec les défis rencontrés sur le terrain. Le soutien pédagogique du REN renforce la qualité de la formation et la motivation des deux parties, en créant un cadre propice à l’apprentissage et à la transmission. 

Ces cours correspondent à un besoin, ressenti à plus grande échelle. Cet été, Workmed a publié les résultats d’une étude sur le bien-être psychologique des apprenti·e·s durant leur formation. Il en ressort que l’apprentissage joue un rôle-clé dans la construction de la confiance en soi, du sentiment d’utilité et de stabilité — des éléments essentiels à l’équilibre mental. Au REN, nous en sommes convaincus. Aussi, nous mettons sur pied des cours qui collent à une réalité en constante évolution.

Quels sont les premiers retours par rapport à ces cours ?
Les retours des participants sont éloquents : ces formations permettent de prendre du recul, de mieux comprendre les enjeux psychologiques et relationnels, et de renforcer la posture du formateur. Elles créent des espaces de dialogue, de partage d’expériences, et de montée en compétences.

Pour terminer, si vous disposiez de quelques phrase pour résumer la mission du REN…
Le REN veut libérer du temps aux formateurs pour qu’ils puissent se consacrer pleinement à la transmission de leur savoir-faire, en leur permettant d’exercer leur rôle avec plus de sérénité, grâce à un appui professionnel et un regard extérieur orienté solution. Le REN incarne ainsi une vision moderne et humaine de l’accompagnement en entreprise. Une présence discrète mais essentielle, au service de la transmission, de l’engagement et du très haut niveau de réussite des apprentis à leur formation (AFP, CFC et CFC avec maturité intégrée).

Informations

https://reneuchatel.ch/